À cœur ouvert, Mohamed Diallo s’ouvre à la presse pour donner son opinion sur les faits saillants qui découlent de la vie politique, du dialogue national et d’une actualité qui le met sur la sellette, son soi-disant son fameux mariage avec Ndella Madior Diouf. Voici en quelques lignes, le jeune leader politique prenant la parole à cœur ouvert, et répondant aux questions ci-dessous :
1-Depuis quelque temps nous voyons sur la toile votre image et celle de Ndela Madior diouf? Êtes-vous son dernier époux?
Rires. Ndella Madior m’a présenté son époux, Mr Touré qui vit au Canada, que je considère d’ailleurs respectueusement comme mon père, puisqu’ils sont à peu près de la même génération. Et sur un tout autre cliché qui me met en exergue à côté de Ndella, le constat est clair, nous formons un beau couple en amitié entre grande soeur et petit frère. Que les sites maintenant extrapolent sur cette image me renvoie à la cloche rouillée d’une paroisse qui ne sort plus le son d’appel au recueillement. Ça ne me désole pas, tant que mon humble image fait vendre. C’est d’ailleurs le charme de la vie. Ça n’altère en rien ma vie privée car une hérésie ne saurait être traitée de vérité aussi longtemps qu’elle puisse résister au temps, elle finit toujours par abdiquer.
2- comment voyez-vous la scène politique ?
Le ministre de l’intérieur doit être encouragé dans l’appel au dialogue qu’il a réitéré lors de sa passation de service en égrenant ces priorités. Comme suggestion, je lui propose d’élargir le champ du dialogue à la troisième voie, à la société civile mais surtout aux guides religieux et aux chefs coutumiers. Et nous prions qu’au sortir de ce dialogue dont le contenu doit exclusivement être en faveur des populations, que tous les fils de la nation se retrouvent autour de l’intérêt national, avec comme principal bénéficiaire, le peuple souverain.
3- depuis votre limogeage, nous voyons que vous multipliez vos sorties. Quel est votre avenir en politique? Avez-vous décidé de soutenir le président macky sall ou rejoindre tout simplement l’opposition?
Dans les jours à venir je ferai une déclaration sur mon avenir politique inchalah (après concertation avec ma famille, mes amis et mes sympathisants). Je ne suis plus un leader communal, départemental ou régional. Je suis un leader national et quel que soit le choix que je ferai à l’avenir, je mettrai toujours en avant l’intérêt du peuple mais surtout celui de la jeunesse de mon pays, pour qui je suis un éternel serviteur.