Dakarmidi – Au rythme ou vont les choses, il faut s’attendre à des relations heurtées dans l’avenir si rien n’est fait entre le ministre Abdoulaye Diouf Sarr et la communauté Layene. Fils du khalife général de cette communauté, Ibou Lo Thiaw, a révélé à dakarmidi des choses contraires à ce que croient bien des layènes à propos du représentant de Macky Sall a Yoff qui se réclame de cette famille et qui a tendance très souvent à s’identifier comme membre à part entière de cette noble descendance d’Al Mardi. Selon notre source, le ministre Abdoulaye Diouf Sarr bien que très présent dans le cadre layène, et y mènant ses activités de toute nature, ne les fait cependant que pour pour des fins politiques, mais qu’ils se le tiennent pour dit, il ne réussira pas la où Seydina Kane très puissant à l’époque de Wade dans la famille, a lamentablement échoué.
Pour notre interlocuteur, en ces temps de campagnes électorales, le ministre semble dépassé par les événements corse la mise dans ses fines manigances tendant à étendre ses tentacules en divisant des dignitaires de la familles par des actes indécents qui consistent à acheter les consciences des fidèles et citoyens à travers des enveloppes de 50 000 F à 200 000 F. Plus graves encore, nous souffle-t-il, le ministre de la Gouvernance locale, du Développement et de l’Aménagement du Territoire use de la légitimité de certains proches et membres de la famille pour parvenir à son but.
À en croire ce fils du Khalif résident en Italie, mais bien au fait de tout ce qui trame au sein de la cour dirigée par le Vénéré Serigne Abdoulaye Thiaw Laye, « Abdoulaye Diouf Sarr a installé un réseau de mafia au sein de la famille qui cependant ne prospérera pas car des obstacles seront dressés sur son chemin ». Les autres hommes politiques qui en nombre inattendu se déplacent à Cambérène, Yoff etc pour faire des promesses démagogiques voire irréalistes sont aussi pointés du doigt par notre interlocuteur qui les met en garde. « Nous n’avons pas besoin de leurs promesses. Le véritable problème de Camberene, c’est l’émissaire et aucun d’entre eux n’ose l’aborder parce que les vrais préoccupations des populations ne les intéressent pas en réalité », et nous c’est ce qui nous intéresse. On ne saurait donc jouer sur un même terrain », largue le petit fils d’Al Mahdi…
La Rédaction