Malgré la qualification avant cette rencontre (face au Congo, ndrl), l’objectif qu’on s’était fixé était de gagner tous les six matchs comme en 2019. Malheureusement on a pas pu rééditer cette performance, mais à défaut de faire un 6/6 nous essayerons de faire un 5/6, c’était à dire gagner le dernier match (le 30 mars à Thiès face à l’Eswatini, ndrl).
Le Congo jouait sa survie et il n’allait pas croiser les bras en attendant que le Sénégal lui marche dessus. Ce que je peux regretter est qu’on a pas su concrétiser nos occasions.
Le système de jeu
Ces genres de matchs doivent nous permettre de changer notre stratégie. On en a réfléchi depuis le mois de novembre et je crois sincèrement à ce système (le 3-5-2, ndrl). Nous l’avons déjà pratiqué par le passé, il y a trois à ou quatre ans. Nous avons le potentiel pour jouer comme ça parce qu’on a de bons joueurs, notamment en défense centrale. L’autre raison qui fait que nous avons voulu jouer comme ça est l’absence de Moussa Wagué (blessé) ou Youssouf Sabaly.
L’enjeu des matchs
En Equipe Nationale du Sénégal, tous les matchs sont importants car le niveau international est différent des autres niveaux, une équipe nationale est différente d’un Club. Dans la situation où on est aujourd’hui, j’aurais essayer (de mettre le même système) même contre les plus grandes sélections. J’espère qu’on va répéter le même système contre l’Eswatini parce qu’on a besoin de répondre.
Les jeunes et les nouvelles arrivées
Je suis satisfait de leur implication. Effectivement, il y a de nouveaux joueurs qui sont arrivés. Si vous regardez bien la composition de l’équipe, il y a plusieurs joueurs qui n’ont jamais joué avec l’Equipe Nationale ou qui ne sont pas des titulaires. Cela prouve que le Sénégal a un bon réservoir de footballeurs et que lorsque d’autre nouveaux joueurs arrivent, il fait savoir les mettre en valeur. En plus de Pape Matar Sarr qui est très bon en Club, les autres joueurs qui sont venus nous renforcer ont de qualité. Je tenais à les encourager.