Dakarmidi – L’atelier nationale de validation du plan d’action de la protection des enfants sur internet qui s’est hier ,présidé par la représentante de la l’Unicef à Dakar, Mme Laylee Moshiri, a fini par faire des révélations inquiétantes .
Tenez vous bien, chaque deux secondes qui passent, 1 enfant se connecte pour la première fois sur internet, soit plus de 175 mille enfants par jour, selon le rapport de l’Unicef sur la cybercriminalité.
Cette utilisation est d’autant plus inquiétante puisqu’elle concerne toutes les autorités étatiques mais aussi toutes les communautés du monde. Ce constant étant fait, Mme Moshiri estime que des mesures strictes doivent être prises en synergie par tous les États.
Poursuivant,le fonctionnaire de l’Unicef souligne qu’au regard des implications de l’évolution de la technologie, du numérique et de ses nombreux impacts su la vie des enfants, il faudra trouver des solutions « L’internet même s’il a des avantages, peut devenir un danger pour nos enfants du fait de l’utilisation qu’ils ont font. L’accès au numérique peut devenir un risque dans certains cas et peut porter préjudice aux enfants » dit madame Moshiri, avant d’ajouter que ce danger peut constituer une source d’exploitation, d’abus sexuels, l’utilisation abusive qui peut impacter sur l’éducation, entres autres.
En a croire à la représentante de l’Unicef, l’autre danger qu’on vit actuellement est que les enfants accèdent à l’internet de plus en plus très tôt d’ailleurs, le constat est qu’ils tendent même à l’utiliser plus que les majeurs.
Pour apporter sa contribution à ce phénomène mondial, l’Unicef compte développer un modele de plan d’action pour aider l’ensemble des pays à protéger leurs enfants, puisque cette organisation est bien consciente qu’interdire les enfants de se connecter n’est pas la solution.
La rédaction