Ces militaires, qui voulaient prendre la direction du palais de la République, ont été encadrés par les policiers, informe la Rfm.
Selon Ameth Sy, porte-parole du Regroupement des anciens militaires mutilés de guerre et grands blessés de guerre au Sénégal, la cherté de la vie est un des motifs qui explique leurs revendications par rapport à l’augmentation de leurs pensions. En sus, la réinsertion d’une vingtaine de jeunes laissés en rade et une gratuité des transports et des véhicules mis à la disposition des militaires invalides sont, selon lui, d’une importance capitale.
Des discussions sont en cours avec les autorités pour une éventuelle satisfaction.