Outre les 7 milliards Fcfa qu’Expresso doit à l’ARTP, informe Libération, il est reproché à la filiale du groupe Sudatel de ne plus investir pour améliorer le confort de ses clients, surtout en matière de connexion.
Il y a également les rendez-vous repoussés pour la 4G. À cela s’ajoutent des manquements notoires relevés dans le cadre de l’audit en cours du cahier des charges opérateur.