«Je suis sortie avant 21 heures avec mon fils de 11 ans qui avait faim. C’est vers 21h 15, à quelques encablures de la gendarmerie de Ouakam, que les forces de l’ordre nous ont sommés de nous arrêter», narre-t-elle.
Et de poursuivre son récit dans les colonnes du quotidien EnQuête : «Je me suis excusée (…) Mais, je me suis emportée quand les gendarmes ont voulu embarquer mon fils qui était traumatisé. Ils l’ont torturé alors qu’il n’a que 11 ans».
Ce n’est pas tout. Pis, ajoute-t-elle, « les pandores voulaient que l’enfant de 11 ans passe la nuit au poste, alors qu’il devait se rendre à l’école le lendemain ».
Dailleurs, informe le journal, Aminata Lô Dieng jure qu’elle n’a jamais insulté les gendarmes.