Dakarmidi – La finance islamique est basée sur les principes de la Sharia qui imposent justice, équité et transparence.
La finance islamique se distingue des pratiques financières conventionnelles par une conception différente de la valeur du capital et du travail.
Ainsi, ces pratiques mettent en avant l’éthique et la morale et puisent leurs sources dans la révélation divine et de la Sounnah tout en s’inspirant des pratiques économiques et financières à l’époque du prophète Mohamed (alehy salat wa salam).
La finance islamique, en accord avec le droit musulman selon de nombreux oulémas, est notamment basée sur l’interdiction de l’intérêt et la responsabilité sociale de l’investissement.
Elle lie plus étroitement la rentabilité financière d’un investissement avec les résultats du projet concret associé. L’islam interdit les transactions tant civiles que commerciales faisant recours à l’intérêt (ribâ) ou à la spéculation (maysir).
source wikipédia
Le commerce est normalement licite, parce qu’il s’agit d’un échange utile entre le vendeur et l’acheteur.
Toutefois, quand l’une de ces deux parties subit un préjudice ou toutes les deux, le commerce passe de la licéité à l’interdiction, car Allah, exalté soit-Il dit (sens du verset): «Ô les Croyants ! Que nul d’entre vous ne mange les biens d’autrui illégalement. » (Coran : 4/29).