Dakarmidi- La coalition Idy 2019 a reçu à son siège la mission d’observation électorale de l’organisation internationale de la francophonie en cet après-midi du Samedi 23 Février 2019 dans le cadre de l’élection présidentielle qui aura lieu demain.
La délégation dirigée par S.E M Flavien Enongoue, Ambassadeur du Gabon en France et auprès de l’OIF, chef adjoint de la mission a eu droit à un accueil chaleureux sous la houlette de Mr Lamine Ba Secrétaire du Parti Rewmi, Mamadou Diop Decroix, Dr Mohamed Diallo, Sheikh Alassane Sène, Maimouna Bousso, tous chefs de parti et mouvements affiliés dans la coalition gagnante de Idy 2019.
Une rencontre d’informations et de contact à la différence des autres missions d’observation en vu de produire un rapport à la suite d’examens attentifs sur les problèmes liés à l’élection présidentielle explique Mr l’ambassadeur.
Cette situation a été décrié par Mamadou Diop Decroix qui dans son discours est revenu sur de nombreux point qui constituent un écueil face l’organisation de ce scrutin dont les enjeux sont nombreux.
Des problèmes liés aux Soupçons d’un hold up électoral vu qu’il y a des citoyens déplacés pour voter ailleurs
– Des citoyens avec plusieurs cartes d’électeurs
– la question de l’encre qui n’est pas indélébile
– changement du dispositif électoral
– Constat de recul de notre pays selon Mamadou Diop Decroix avec le cas de Touba où 210 000 électeurs n’ont pas pu voter.
-la rétention des cartes electeurs
D’autres précisions ont été éclairé par le secrétaire Lamine Ba sur le cas des cars Ndiaga Ndiaye au DAF, une raison de dire que le Sénégal à l’image de la vitrine d’une république craquelée selon Sheikh Alassane Sène qui ajoute avoir des informations sur les logiciels prévus par le pouvoir pour voler ces élections et que la Rts est entrain de faire de la discrimination sur le matériel sono accordé à Macky Sall et non accordé aux autres candidats.
La démocratie sénégalaise aujourd’hui est malade pourrait résumer cette rencontre selon Maimouna Bousso qui a fait des remarques importants sur ceux qui sont à la tête des institutions chargées d’organiser ces élections.
Ainsi, l’opposition ne compte reculer d’un seul et compte continuer le combat pour la restauration des bonnes valeurs démocratiques au Sénégal.
La rédaction