Dakarmidi – Lamine Sow, le Pca de AIBD/Assistance servicfe, en conférence publique hier, lundi 14 mai 2018, est d’avis que la premiére place qu’occupe le Sénégal en Afrique sur le volet de « la transparence et bonne gouvernance dans la gestion des hydrocarbures et du droit à l’information du citoyen » n’est pas usurpée.
Concernant la polémique sur le gaz et le pétrole, Lamine Sow en tant que spécialiste rassure la population, car selon lui, depuis l’installation du président Macky Sall, des découvertes impressionnantes (gaz , pétrole, terres neuves, zircon, or) ont été enregistrées. « Ces découvertes installent le Sénégal dans les temps de l’opportunité et de l’action. Il nous faut maintenir le cap et garder espoir d’un lendemain meilleur » a t-il dit.
« En 2012, dans sa profession de foi, le candidat Macky Sall disait que le modèle économique choisi jusqu’à cette époque ne parvenait pas à venir à bout des injustices sociales et qu’il fallait le changer, le repenser. Le Sénégal est ainsi arrivé à une moment crucial de son histoire. C’est une nécessité impérieuse pour les sénégalais, de continuer à appuyer les ruptures et les réformes entreprises, pour d’avantage consolider la démocratie de l’Etat de droit, renforcer les libertés publiques et créer une croissance forte durable et inclusive » a expliqué M.SOW
A l’en croire, jamais au Sénégal, un Président n’a autant structuré ses choix autour de la lutte contre la pauvreté. « En banlieue, les retombées sont bien visibles. Nos ambitions d’hier sont devenus des réalisations aujourd’hui, avec le Pudc, la Cmu ou encore la carte d’égalité des chances, Promovilles, Puma, les Bourses familiales » a énuméré Lamine Sow dans les colonnes de l’obs.
« Dans quelques mois, en février 2019, les sénégalais seront face à leur responsabilité. Ils auront deux possibilités: retourner en arrière et perdre tous les acquis ou alors aller de l’avant et poursuivre la voie du redressement courageux et responsable que nous suivons depuis 2012, pour que less efforts et les sacrifices accomplis jusqu’ici ne soient pas comptés pour rien » conseille t-il.
La rédaction