Présente depuis la première heure au côté d’Emmanuel Macron, Sibeth Ndiaye a été la cible de plusieurs critiques le jour de la passation de pouvoir entre François Hollande et Emmanuel Macron. Bien décidée à ne pas se laisser dicter sa conduite, la mère de famille a répondu à sa façon.
A défaut de pouvoir critiquer Emmanuel Macron sur son action politique, le candidat d’En Marche n’ayant pas encore annoncé son gouvernement, les détracteurs du nouveau chef de l’Etat se sont attardés sur les tenues vestimentaires de son entourage. Ainsi, dimanche, lors de la passation de pouvoir organisée à l’Elysée, les critiques ont fusé à l’encontre de Brigitte Macron, dont la robe a été jugée trop courte, du compagnon de Tiphaine Auzière, pour ne pas avoir mis de cravateet de Sibeth Ndiaye, la conseillère en communication du candidat d’En Mrche, pour avoir porté des baskets. A un détail près: ce jour-là, celle qui occupe désormais le poste de cheffe du service de presse du président Macron portait en fait des derbies blanches. Quelques jours plus tard, elle répond à ses détracteurs à l’aide d’une nouvelle tenue.
Bien décidée à ne pas se laisser impressionner par quelques internautes mécontents, la communicante de 37 ans est apparue aujourd’hui vêtue d’un nouvel ensemble. Toujours pas de costume sombre pour elle mais une très jolie robe à poids complimentée par une légère veste verte. Une manière pour elle de faire comprendre aux critiques anonymes qu’elle n’apporte pas la moindre importance à ce que des inconnus peuvent bien penser de ses choix vestimentaires. Son look, quelques jours après le début de polémique, a en tout cas permis à la mère de famille de se mettre plusieurs internautes dans la poche.
Sur Twitter, un utilisateur commente: « Je l’adore ! Enfin un peu de dépoussiérage ! » tandis qu’un autre salut « l’élégance et le professionnalisme » de la communicante. Pour ceux qui en doutaient encore, Sibeth Ndiaye vient de confirmer que son équipe est bien là pour dépoussiérer le monde de la politique française et que les codes d’antan ne sont plus forcément d’actualité.
Gala