Le ministre du commerce et des PME a rendu fous ses adversaires. Elle leur a opposé un silence de marbre. De ses détracteurs, assommés par ses stratégies, la fureur de son empreinte politique a eu raison. La lionne des banlieues semble dire « ils aboient, la caravane passe ».
Sur le terrain, Assome Aminata DIATTA avance d’un pas sûr, d’une allure ravageuse. Laissant l’initiative de la danse maccabre aux détracteurs très mal inspirés des répliques à apporter à la déferlante de la dame. « Elle, Assome, rend fous les adversaires », a dit un chroniqueur politique.
Le terrain politique, exige de l’acteur, l’endurance, et l’organisation.
Assome a comme très tôt compris qu’en politique, le sujet n’a d’effet que lorsque le verbe est conjugué au temps de l’action.
Que leur restait-il, ces adversaires ? Si ce n’est râler sur tous les toits.
Voilà que face à la colombe blanche, le crapaud bute sur sa bave. Sans marge de manœuvres, il ne peut salire la blanche Colombe. Il va baver. Davantage, baver avant d’abdiquer sous le coup de la tempête politique qui promet de balayer sur son passage ceux qui n’ont rien fait pour être dans le cœur des populations massaroises.
Nul besoin de défendre Assome. Elle même n’en a pas besoin. Car elle est défendue à Keur Massar par son bilan humanitaire sur une terre où elle a choisi d’habiter, de militer pour donner une vocation sociale à sa vie.
Son combat épique contre les adversaires, elle le livre à Keur Massar Nord. Elle y est opposée aux détracteurs peu engagés en réalité, mais décidés à saper le moral d’une femme dont on ne se défait pas si facilement au moyen de la diversion et de la calomnie.
Très confiante, Assome fait face à ses adversaires, des détracteurs, ces adultes qu’elle va punir dans les urnes. Immanquablement, puisque comme le dit Pythagore, « il faut bien éduquer les enfants pour ne pas punir les adultes ». Ici, les adultes, ce sont les adversaires de Assome qui ont choisi le plus facile pour ne pas être célébré au grand soir du 23 janvier 2022, sachant que la guerre de Keur Massar est perdue d’avance. Pendant ce temps, l’aperiste en chef de Keur Massar travaille pour être célébrée en fanfare, un soir de la victoire.
C’est en rangs structurés et coordonnés que Assome Aminata DIATTA a investi le terrain par le langage de la vérité. Le cœur sous la main, elle a donné de son énergie, de sa sueur, de son talent et/ou du meilleur d’elle-même. En témoigne l’engagement inouï des personnes de tous âges, militant à sa cause politique. Et, il est évident que Assome est bien partie pour gagner la mairie de Keur Massar. Elle est irréductible sur ce boulevard de la municipalité. C’est peine perdue que d’en vouloir à celle qui n’en veut à personne.
Elle est bien partie parce que la brave dame a convaincu son monde de par ses prédispositions naturelles de rassembleur, capable d’être le maire de tous à l’écoute de tout le monde. Elle s’est présentée aux populations de Keur Massar sous le vrai visage d’un être fait pour servir les hommes. Pour cette raison, elle est là, bienvenue, benie par les personnes âgées, au premier rang desquelles se trouvent les délégués de quartier. Adulée, elle l’est devenue par les jeunes et les femmes.
Le cri alerte des sages de Keur Massar, attirant l’attention du Président Macky Sall sur l’imminence pour l’APR de faire de Assome son cheval de conquête aux prochaines locales est la preuve éloquente.
Amary Lat DIOP