S’exprimant sur la convocation d’Ousmane Sonko, leader de Pastef, il soutient que » Le procureur de la République est devenu un danger pour la démocratie. Ses décisions, illégales, et sa posture de récidiviste montre qu’il préfère mettre la loi en dessous des volontés politiques de sa hiérarchie ».
» Le trouble à l’ordre public devrait être opposé aux agents de l’Etat qui violent les lois et créent des situations de tensions », renchérit Thierno Bocoum selon qui, « Ousmane Sonko est un député du peuple qui a des droits consacrés dans la charte fondamentale de notre pays. C’était pour moi un devoir de lui avoir apporter, ce matin, mon soutien fraternel, amical et patriotique », conclut le président du mouvement AGIR.