Selon Alioune Tine, la démocratie sénégalaise est à son plus bas niveau depuis 2012. « Elle ne peut pas survivre au rythme des liquidations politiques de tous les prétendants au poste de président de la République depuis 2012. L’horizon 2024 est sombre, tout comme la démocratie et l’état de droit », déplore-t-il.
Le président d’Africa Jom Center a laissé entendre, « qu’user de toutes les armes pour conserver le pouvoir ou pour conquérir le pouvoir d’Etat, fait courir de graves dangers à l’état de droit à la démocratie et la République ». « Surtout quand on ouvre les vannes de caniveaux, des égouts et des basses fosses. La politique va puer partout », alerte-t-il.