Les villageois qui protestent, au nom du droit coutumier, contre l’accaparement de leurs terres, ne veulent pas trop s’avancer sur ce qui a été perçu comme une « tombe d’homme » érigée à l’origine par des paysans afin que les bradeurs de terre soient dans l’incapacité d’accaparer leur sol.
On évoque des séances de prières collectives sur le terrain, des jets de gris-gris sur le foncier. Faut-il croire à une sincère paranoïa du traqueur ? La superstition n’est pas qu’africaine…