D’après les informations glanées par le quotidien Libération, les enquêteurs ont mis au jour des éléments accablants pour le personnel de garde.
Selon le journal, « les gendarmes ont établi qu’aucun agent du personnel de garde n’était présent à l’unité de néonatalogie au moment du déclenchement de l’incendie qui a coïncidé avec l’heure à laquelle devait arriver la relève ».
En somme, « si le personnel de garde était présent, la vie des bébés pouvait être sauvée ».
En plus, « il n’y avait aucun dispositif de surveillance pouvant permettre au personnel de savoir ce qui se passait dans cette salle ». Idem pour l’alarme-incendie.