Les quotidiens reçus mercredi à l’APS abordent entre autre sujets la levée des restrictions sur le secteur des transports, la gestion des déchets biomédicaux, la coopération entre le Sénégal et la Japon.
Vox Populi signale que le ministre des Transports a levé les mesures restrictives dans le domaine des transports en commun à l’exception du port du masque. Ces mesures ont été prises pour contenir la propagation de la Covid-19.
Dorénavant, ’’les cars sont autorisés à surcharger, les taxis à embarquer 4 personnes’’, écrit le journal.
Parlant de l’arrêté du ministre des Transports, Tribune affiche en Une : ‘’Levée des restrictions sur le secteur des transports, la pagaille à l’épreuve du corona’’.
’’Après 6 mois de restrictions pour freiner l’expansion de la pandémie du coronavirus, l’Etat du Sénégal vient de lever les mesures de restrictions sur les transports en commun (…). Les conducteurs de véhicules peuvent prendre autant de passagers que de places disponibles. Toutefois, le port du masque est obligatoire’’, écrit le journal.
L’Observateur souligne que ‘’le traitement des déchets biomédicaux de l’hôpital Dalal Jamm sème la panique’’ à Guédiawaye, dans la banlieue de Dakar, où l’on craint une résurgence des maladies respiratoires.
‘’Le traitement de déchets biomédicaux, surtout ceux des malades du Covid-19, à l’hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye commence à indisposer les populations riveraines, qui face à la résurgence des maladies respiratoires s’inquiètent’’, écrit le journal.
Dans un entretien au journal Le Quotidien, l’ambassadeur du Japon au Sénégal, Tatsuo Arai revisite les 60 ans de la coopération entre Dakar et Tokyo.
Sud Quotidien s’intéresse à ‘’l’avenir politique’’ de Khalifa Sall, pris ‘’entre deux feux’’. Selon le journal, ‘’l’ancien maire de Dakar est pris entre le marteau judiciaire et l’enclume de l’âge’’.
Source A ouvre ses colonnes au Pr Khadim Rassoul Thiam, qui se prononce sur ‘’les échanges commerciaux avec la France, les trous noirs de la gestion du pays, etc.’’.
Selon lui, ‘’il y a trop de raté dans ce pays : sur la gouvernance, la gestion de l’Etat, sur le foncier, les gens qui confondent le budget de l’Etat avec leur poche, sur le fait que le débat n’est pas centré sur les questions fondamentales (…)’’.
Enquête aborde ‘’les enjeux de la gestion de l’eau au Sénégal’’ suite à l’offre publique d’achat (OPA) lancée par Véolia en France sur Suez.
’’Avec l’OPA lancée par Véolia en France sur Suez, la gestion du secteur de l’eau au Sénégal pourrait tomber entre les mains du premier groupe avait qui avait fait l’offre la plus chère lors de l’appel d’offres de 2017 (366 francs Cfa le mètre cube contre 286 francs Cfa pour la Sde ; 298, 5 francs Cfa pour Suez). Se pose alors la question des orientations, du sort des travailleurs, mais surtout de la qualité de l’eau et du prix de l’eau au Sénégal’’, écrit Enquête.
Suez est la maison mère de la société Sen’Eau en charge de l’exploitation urbaine et périurbaine au Sénégal.
Le journal L’Info annonce que plus de 4 milliards de francs CFa ont été mobilisés pour les travaux de la Grande mosquée de Tivaouane et souligne que ‘’les disciples tidianes ont répondu avec la plus grande ferveur à l’appel du Khalife général Serigne Babacar Sy Mansour (…)’’.