Selon le journal EnQuête, à la Médina, une dame responsable politique, mobilise ses associations de soutien pour faire vacciner leurs membres.
Ce, au moment où des hémodialysés font des mains et des pieds pour accéder au vaccin.
À Diourbel aussi, on note une politisation du vaccin. La campagne vaccinale pour toucher les cibles prioritaires, hormis le personnel médical, n’a pas encore commencé.
Des personnes qui n’ont même pas 40 ans et qui ne présentent pas de comorbidité se font vacciner.
Outre la ripaille des politiciens, des témoignages épinglent aussi certains personnels de santé, qui se permettent la largesse de faire passer amis et proches, en dehors de toute procédure.