En réaction à cette « opération de déshonneur » menée contre des militaires qui ont servi le drapeau, le directeur d’Amnesty international section Sénégal, Seydi Gassama, parle d’une injustice.
« L’affaire « Terme Sud » est simple. Soixante quinze (75) familles de militaires habitent là depuis plus de 40 ans pour certaines, dans des logements mis à leur disposition à titre onéreux par l’armée. Le bail qui lie l’Etat à l’armée étant terminé, le terrain doit être morcelé en parcelles et cédé à des coopératives d’habitat ou à des particuliers. Ces familles demandent à exercer leur droit de préemption. Dans n’importe quel Etat respectueux du droit et soucieux de justice, elles auraient obtenu gain de cause », publie-t-il sur sa page Facebook.