Selon le journal L’Observateur dans sa parution de ce mardi du côté du ministère public, l’on souffle que le recours à des tests ADN n’est déterminant que quand il s’agit de déterminer la paternité d’un enfant, quand une femme accuse un homme de viol suivi de grossesse.
À propos de l’affaire de viols répétés dans laquelle le leader de Pastef est cité, les tests ADN ne peuvent être faits.
Seulement, il pourrait y avoir des traces de sperme appartenant à Sonko. Ce qui pourrait simplement montrer qu’il y a conjonction sexuelle, sans confirmer un viol.
« L’absence de sperme, non plus, ne va déterminer qu’il n’y a pas viol », soufflent des sources judiciaires du journal.
Mais, ce qui est clair, le juge d’instruction du 8e cabinet en charge du dossier devra fouiller ailleurs car les tests ADN ne peuvent pas être l’élément déterminant pour faire éclater la vérité.