Dakarmidi – Suite à notre article sur le côlon, nous allons vous aidez à mieux manger. En effet manger, ce n’est pas que se nourrir. C’est aussi un acte social, sensuel, émotif et vital, au sens le plus strict. On mange le plus souvent parce qu’on a faim, parfois aussi pour combler un manque affectif ou pour faire plaisir à ses hôtes… Hippocrate disait : « Que ton aliment soit ton médicament »
Nous sommes beaucoup plus attachés à nos habitudes alimentaires, bonnes ou mauvaises, que nous ne l’imaginons. Selon Santé-Magasine, changer ces habitudes peut être un défi de taille. L’expérience a démontré qu’il vaut mieux modifier ses habitudes alimentaires de façon très progressive en intégrant un ou deux changements à la fois. . En préservant notre santé, on préserve aussi la planète.
Pour Passeport Magasine, avec une limite de consommation individuelle de 500 g par semaine de viande hors volaille et gibier (c’est-à-dire : bœuf, porc, veau, mouton, chèvre, cheval), évitez la consommation de viande transformée, c’est-à-dire la viande fumée, salée, en saumure ou avec ajout de conservateurs et des charcuteries (saucisses, saucisson, jambon cuit ou cru, pâté, etc.).
.«En revanche, une alimentation riche en céréales complètes et en légumineuses est économique, bonne pour notre santé et celle de planète » explique Anthony Fardet un chercheur nutritionniste. « En effet, les légumineuses n’ont pas besoin d’engrais azoté pour pousser».
La bonne association pour retrouver la même qualité protéique de la viande est de consommer ensemble riz-lentille, riz-soja, maïs-haricots rouges- couscous poids-chiche. Ces associations sont riches en énergie et en composés protecteurs.
En mangeant diversifié, on permet à notre corps de fabriquer des bonnes défenses immunitaires. C’est le cas des fruits et légumes de toutes les couleurs on fait le plein d’antioxydants variés et essentiels pour notre bonne santé.
Enfin, éliminer les aliments industriels, a production excessive de produits ultra-transformés par l’industrie agro-alimentaire a favorisé les maladies de civilisation (diabète, obésité, maladies cardio-vasculaires, cancers). «Les personnes les plus atteintes par ces maladies sont en effet les plus gros consommateurs de produits alimentaires industriels, alors que celles qui se nourrissent majoritairement d’éléments peu transformés vivent le plus longtemps en bonne santé» explique Anthony Fardet.
Il faut donc privilégier les aliments naturels, peu transformés et peu raffinés (par exemple céréales complètes plutôt que blanches), éliminer au maximum les produits industriels ultra-transformés et préférer par exemple une pomme à un jus de pomme.
La Rédaction