La gouvernance sobre et vertueuse n’est pas de mise à la mairie de Ville de Rufisque. La Concussion et la gabegie constituent la charpente de la gestion de Daouda Niang du Pds.
Khalifa Sall le maire de Dakar, qui fera face aux juges le 03 janvier 2018 pour répondre entre autres accusions, du délit de détournement de deniers publics, a comme qui dirait, fait une émule à Rufisque. Où son homologue Daouda Niang aurait selon notre source effectué, plus d’un milliard de dépenses transférées en 2015 et 2016 tout en déclarant faillite aux populations indigentes, lors des fêtes de korité et de tabaski et être resté quatre mois sans payer de salaires.Alors que les comptes administratifs votés ont montré que cette énorme masse d’argent a été dépensée. L’État du Sénégal qui est le garant de la bonne gestion des deniers publics doit exercer son droit de contrôle afin d’éclairer le contribuable rufisquois sur la destination de cet argent.
Tout comme il doit exercer son droit de regard sur les contrats signés, en veux tu- en voilà à d’anciens hauts fonctionnaires, d’officiers de l’armée à la retraite ou même d’anciens ministres qui perçoivent indûment des salaires qui vont de 300.000f à 500.000f.Sans accomplir la moindre tâche au bénéfice de la Ville et des populations.Et même sur le contenu des lourdes enveloppes que viennent prendre des responsables du Pds.
La gestion gabegique de la Ville de Rufisque tient aussi, affirme notre source du favoritisme qui fait que les hommes qu’il faut n’y sont pas aux places qu’il faut. Le Secrétaire general en est d’illustration la plus criarde. L’homme crédité d’un niveau Bac + 2 est loin d’avoir le profile de l’emploi.Et c’est lui qui serait la tête pensante du maire avec qui ol parcourt l’Europe, l’Asie et l’Amérique à intervalles réguliers. Dans des missions qui n’impactent aucunement le développement de la ville de Rufisque. Sidy Mbaye s’est à la fois substitué au directeur de cabinet et même à l’assistante sociale. Dont les dossiers son gérés en toute ignorance et négligence par la…secrétaire du maire. Ce dernier, il faut le dire n’a pas le temps de se pencher sur les préoccupations de ses mandants. Partagé qu’il est entre son verger et son bétail issus d’un enrichissement à tout le moins fulgurant. Sur le dos du contribuable. C’est dire que la gestion de la Ville de Rufisque par Daouda Niang doit être passée au peigne fin par les corps de contrôle de L’État. Ne pas le faire serait encourager ma prédation et la course vers les biens mal acquis.fort heureusement que les pouvoirs publics l’ont bien compris. Après Khalifa Sall, tous les maires qui ont agi avec indelicatesse sur les deniers publics répondront de leurs actes.
A suivre…
La rédaction