Dakarmidi – Dans son livre intitulé “L’art du mensonge politique “, Jonathan Swift pose une question simple : faut-il tromper le peuple pour son bien ? Ousmane Sonko le jeune virtuose du mensonge de la scène politique sénégalaise a clairement choisit des l’entame de sa carrière politique de répondre oui à cette question et d’en faire la sève nourricière de chacune de ses discours et actes politiques.
Fort heureusement pour le peuple sénégalais demeure profondément partisan de l’observation rigoureuse des faits même si à chaque événement la plupart préfère céder à l’émotion. C’est la raison pour l’aquelle le déploiement et les incursions intempestives de sa force de frappe du mensonge lui valent aujourd’hui d’être la risée de tous les esprits libres imperméables aux injures, aux violences verbales et au terrorisme de ses troupes sur les réseaux sociaux. Aucun de ses discours et révélations dont sont si friands les sénégalais ne résistent à l’analyse.
Le chantre du patriotisme qui préfère les effluves et lumières feutrées des salons de massage de la capitale sénégalaise aux effluves celles de ses douces moitiés s’est emmêlé les pinceaux dans l’exercice périlleux de travestissement des faits qui l’opposent à la jeune orpheline Adji Raby Sarr. Un homme de 47 ans face à une jeune femme de 20 ans orpheline, déshéritée, sans structures ni soutiens pour s’en sortir ou même crier à l’aide. Une proie facile toute indiquée pour assouvir les contradictions gargantuesques de sa libido. débridée. Tremblement de terre ! On perd toute panache après s’être dénudé devant une femme : il va ainsi mentir de nouveau en pointant du doigt le coupable tout indiqué le Président de la République. Un banal problème d’addiction aux plaisirs charnels est ainsi travesti en complot politique pour le rendre comestible et défendable. Le summum de la bassesse et de la malhonnêteté intellectuelle car come disait Meister :Tout mensonge est une bassesse, et sans exception..
Il n’en était pas à son coup d’essai . En effet ses premières dissimulations lui ont permit son entrée fracassante en politique grâce à l’utilisation de dossiers frappés du sceau de la confidentialité en violation de toutes les règles de la déontologie de l’administration sénégalaise. Il obtint ainsi de se faire radier de l’administration sénégalaise bénéficiant ainsi abusivement du reste de la la posture de victime du régime. Il n’en était rien. Ousmane Sonko voulait démissionner pour créer Mercalex sa fameuse société dont il ne se souviendra plus du nom lors d’une émission télévisée. Un autre mensonge. Comment un chef d’entreprise peut il oublier le nom de sa société ? Phocylide de Millet nous disait que “le mensonge suppose toujours ou l’envie de cacher le mal que l’on a fait, ou de déguiser celui que l’on veut faire ; le mensonge est un acte lâche”.
Une autre fausseté son attachement à l’éthique et à la morale. Il s’installera au cœur du débat politique en arborant le brassard de capitaine émérite des sénégalais aux mains propres l’affaire Adji Sarr a révélé un homme obsédé par les plaisirs de la chair au point de violer le couvre feu pour satisfaire les fantasmes obsessionnels dignes de Sodome et Gomhore avec des jeunes filles esseulées et socialement vulnérables Il abusera ainsi non seulement de son laisser passer mais aussi de sa toute puissance pour réduire ses jeunes proies en esclaves sexuels. Adji Sarr issue de couches vulnérables, aurait dû être protégée aussitôt par le L’homme politique Ousmane Sonko se prévalait de défendre le bas peuple. Il est ainsi en lui même un mensonge politique. Il sait colorer la nature, et à prouvé être un grand simulateur et dissimulateur mais fort heureusement la corde du mensonge est toujours trop courte.
Dans le dossier Ousmane Sonko vs Adji Raby Sarr, Ousmane Sonko, Ndeye Khady, Bassirou Diomaye Faye, El Malick, Pape Ale Niang, et toute la nuée de journalistes diffamateurs constituant la force de frappe du mensonge de Ousmane Sonko ont eu un problème de concordance des temps. Leurs affirmations et déclarations en quinconce ont finit par anéantir toute chance de convaincre même les plus faibles d’esprit de la dernière dissimulation qui est celle de travestir une banale affaire de mœurs en complot politique. Kant disait que le mensonge est toujours odieux quand on en profite. Le salafiste qu’il est serait passible d’au moins 100 coups de fouets en public sous d’autres cieux.
Ousmane Sonko et sa société des menteurs ont perdu la partie de poker menteur auquel ils avaient invité le peuple sénégalais causant ainsi la mort de 13 jeunes innocents et des pertes matérielles évaluées en milliards de nos francs. Ousmane Sonko n’a pas viole Adji Raby Sarr seulement mais la jeunesse sénégalaise toute entière et nos cerveaux. Les responsabilités une fois établies les coupables de ces violences imposées à notre peuple devront être punis sans faiblesse coupable. Ni Ousmane Sonko, ni Pasteef ne devraient se prévaloir de leurs propres turpitudes. Nulle raison ne saurait justifier le mensonge.
Aujourd’hui le leader de Pasteef Ousmane Sonko a perdu sur le terrain de la morale. Il a de son propre gré choisit de faire du mensonge son instrument politique de prédilection et il a perdu. Il a aujourd’hui deux impératifs pour sauver ce qui lui reste d’honorabilité : accepter sa faillite morale, arrêter sa fabrique du mensonge et assumer les conséquences des errements nocturnes. Il s’était réfugié dans la prière pour échapper à ses démons. Il doit retourner à ses convictions et dévotions religieuses . En tout C’est tout le mal que l’on lui souhaite.