Dakarmidi – Le gouvernement de Muhammadu Buhari a reçu un ultimatum d’un groupe connu sous le nom de ‘Nigerian Youth Advocate for Justice’. Le groupe à travers son président, Seriki Olorunwa, a donné huit semaines au président Buhari pour démissionner ou former un gouvernement intérimaire ou faire face à la colère des peuples alors que des plans sont en cours pour l’expulser de la présidence en mobilisant pas moins de sept millions de jeunes issus de 22 États pour mettre leur plan en exécution.
Il a déclaré qu’il est devenu très évident que ses problèmes de santé ne lui permettent plus de bien diriger le pays. Dans un communiqué, Il a noté : « Nous demandons instamment au Sénat, à la Chambre des représentants, à la Chambre des assemblées de l’État et aux organismes parapublics de persuader M. Buhari de démissionner et céder la place à quelqu’un d’autre pour l’intérêt des Nigérians ». Olorunwa a promis de ne pas verser de sang lors des manifestations visant à faire partir Buhari, mais a déclaré qu’il était prêt à se battre que de vivre comme des esclaves.
« Nous parlons d’une seule voix pour le peuple parce que nous voulons le progrès des gens ». Le groupe a déploré les humiliations infligées aux Nigérians par le parti au pouvoir, le ‘All Progressives Congress’ (APC). Des crimes tels que le meurtre, l’enlèvement et le vol sont à l’ordre du jour, et ne font que prendre de l’ampleur dans le pays, ce qui est plus que suffisant pour exiger sa démission immédiate en utilisant tous les moyens légaux possibles.
Afrikmag