Dakarmidi – Cet acte irresponsable du gouvernement du Président Macky SALL montre à suffisance, à la communauté nationale et internationale, le caractère manifeste de l’absence de vision et de prospectives d’un Etat peu soucieux de l’avenir des futures générations de son pays.
En agissant ainsi, le gouvernement hypothèque certainement l’avenir de plus de 3000 élèves du Sénégal qui n’ont pour seul tort que de vouloir réussir leurs études afin de s’épanouir et de demeurer au service patriotique du développement de notre pays.
Cette manière cavalière et brutale d’agir au cœur du système éducatif illustre une fois de plus l’échec patent et ahurissant de la politique éducative du gouvernement du Président Macky SALL, au-delà de son caractère déjà révoltant.
L’Etat du Sénégal garant de l’éducation pour tous est prêt à user de toutes les forces de répressions possibles pour refuser l’accès des établissements scolaires à nos innocents enfants épris d’enseignements et de savoir. Que de contradictions ! C’est une première dans l’histoire du système éducatif sénégalais.
Comment un Etat qui compte encore des abris provisoires un peu partout sur le territoire national peut décider de la fermeture de neuf (9) établissements construits en bonne et due forme et connus pour leur excellence et la qualité de leur enseignement ?
Quelles que soient les raisons avancées, les écoliers ne peuvent payer pour les erreurs politiques de leurs gouvernants. Nous restons convaincus que des solutions autres que la fermeture peuvent être trouvées pour éviter un tel désastre.
Hélas avec le Président Macky SALL et sa gestion du pays aux antipodes des intérêts supérieurs des générations futures et de la Nation, nous ne sommes pas au bout de nos surprises et de nos peines.
Le Grand Parti s’insurge devant cet état de fait et appelle à la mobilisation de tous les patriotes et forces vives pour la sauvegarde du groupe Yavuz Selim.
Nous tiendrons le gouvernement comme seul responsable de toutes les conséquences qui découleront de ses actes posés qui marquent un tournant néfaste dans l’histoire de notre système éducatif.
Décidemment l’année scolaire 2017/2018 est partie pour être la plus sombre de notre éducation nationale.
Malick Gakou
Président du Grand Parti.