Dakarmidi – L’annonce a été faite à la radio nationale par le vice-président burundais Gaston Sindimwo. Il assure que le Burundi est prêt à subir toutes les conséquences qui découleront de son retrait de la Cour pénale internationale (CPI). Si jamais cette mesure arrivait à être concrétiser, ce pays serait le premier africain à franchir cette étape après plusieurs hésitations.
Rappelons qu’en janvier dernier, certains pays africains sur proposition du Kenya soutenue par le tchadien, Idriss Deby Itno alors président en exercice de l’Union Africaine (UA), avaient fait part lors du sommet de l’UA de leur intention de quitter la CPI. Car estimant que la CPI ne cible que les dirigeants africains. I
nterrogé par la BBC, Abdoulaye Tine Professeur de droit international et Avocat à la CPI souligne que « même si cette décision est souveraine, le Burundi a obligation de coopérer avec la Cour Pénale Internationale ».
La Rédaction
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