Le coup d’Etat survenu en Guinée contre le président Alpha Condé a suscité la consternation au sein de la classe politique africaine. Même si les relations entre le président Condé et certains de ses voisins immédiats n’étaient pas au beau fixe, son triste sort a tant bien que mal touché certains de ses homologues en l’occurrence le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló.
« On ne s’aimait pas, mais je suis consterné par ce qui est arrivé. Les images qui ont circulé ne sont pas acceptables et cela m’attriste. Nous étions en désaccord sur presque tout, mais il est mon grand-père », confie Umaro Le coup d’Etat survenu en Guinée contre le président Alpha Condé a suscité la consternation au sein de la classe politique africaine. Même si les relations entre le président Condé et certains de ses voisins immédiats n’étaient pas au beau fixe, son triste sort a tant bien que mal touché certains de ses homologues en l’occurrence le président bissau-guinéen Umaro Sissoco Embaló.
Ce dernier poursuit, « sitôt après les évènements, je me suis immédiatement occupé du sort d’Alpha ». Car je suis toujours « par principe » opposé aux putschs. C’est pourquoi il faut tout faire « pour qu’on sorte Alpha de là ».
Par ailleurs, le président bissau-guinéen a affirmé avoir téléphoné à Nana Akufo-Addo, le président en exercice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), pour plaider en faveur d’un communiqué de l’organisation sous régionale condamnant ce coup de force, rapporte Jeune Afrique.
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