Dakarmidi – Lorsque j’ai eu l’occasion de rencontrer l’ancien Président de la République dans le hall de l’une des plus grandes et prestigieuses bibliothèques du monde (la Bibliothèque d’Alexandrie,) je me suis dit: pourquoi ne m’approcherais-je pas de l’homme et essayer d’échanger un peu avec lui ? Comme ça il va, du moins, satisfaire mon ignorance en ce qui concerne les questions auxquelles qui me tutlipinent et dont je ne cesse de chercher des réponses.
En fait, je n’étais pas tellement surpris du fait que la personne concernée continua de diriger le Sénégal durant plus de vingt ans et nous trouvons toujours difficile de compter et de mentionner les réalisations qu’il a accompli pour la patrie au cours de ces deux décennies, du moins en ce qui concerne les infrastructures ; autant que je l’étais du fait qu’un peuple conscient puisse continuer de laisser un certain Abdou, avec son charisme, continuer à gérer et diriger ce magnifique pays, chaque mandat présidentiel suivi d’un autre.
Pour comprendre la mentalité électorale de nos citoyens, qui ont continué à l’élire pendant deux décennies, je vais adopter une perspective diverse toutefois non contraire de la première.
Je pense que nous nous souvenons tous, juste avant la première alternance démocratique de l’histoire de notre république moderne, comment l’un des candidats, qui deviendra plus tard le meilleur président de la république, était qualifié de seigneur de guerre qui, une fois élu, serait confiné à des effusions de sang et à des guerres sans merci… au point que son nom semblait même être associé au mal absolu !
Pour savoir à quel point ces accusations sont fausses, le peuple ne cesse de le louer et de le regretter avant que l’histoire ne puisse en témoigner. Et ça continue jusqu’à ce jour-là où on entend des fois certains compatriotes le prendre pour celui qui nous a ‘mondialisés’. Certes ils ne parlent pas de mondialisation économique, ni de culturelle, mais seulement ils font allusion à l’ampleur que le nom ‘Sénégal’ a connu dans le monde au cours de cette brève période (2002 – 2012).
Sans mentionner les éléments qui font de moi un électeur fervent, et qui garde son espoir de voir un jour Ousman Sonko devenir le 5ème Président de la république; je tiens à témoigner aux générations futures que j’ai été un héros en réagissant, de toutes mes forces, contre des étrangers qui aspirent leur fort désir à notre fortune (les mines). Qu’ils savent que, par l’intermédiaire de ma plume, j’étais parmi les braves et courageux citoyens qui ont toujours exhorté les compatriotes éligibles à voter, lors des échéances présidentielles de 2019, en faveur de ce candidat. Ainsi, demain mon nom sera gravé éternellement dans la mémoire des générations futures, étant l’un des noms des personnes qui, en appelant à élire Ousmane Sonko, ils ont contribué à la préservation de la patrie et de sa richesse en particulier…
La rédaction