Jusque tard dans la soirée, les avocats de Pastef ignoraient où ces jeunes sont gardés par la police.
« On n’a aucune nouvelle des personnes qui sont arrêtées. C’est inadmissible, dans un État de droit, qu’on ne permette pas aux prévenus d’appeler leurs avocats », peste Me Abdoulaye Tall repris par L’AS.
La robe noire de sonner l’alerte : « Tout ce qui leur arrivera sera de la responsabilité des gens qui ont donné l’ordre de les arrêter ».
Me Tall, qui promet de mener le combat jusqu’à ce qu’ils soient libérés, prévient que « ces jeunes ne seront pas les agneaux du sacrifice dans cette affaire ».