Avec le kilowatt/heure d’au moins 65 francs CFA, la centrale va réaliser au moins 160 milliards annuellement de chiffre d’affaires avec Senelec, soit près du tiers des recettes actuelles de Senelec selon la lettre quotidienne.
Un pont en or pour l’ancien
candidat aux élections présidentielles qui n’avait pas franchi le cap des parrainages et ex pourfendeur du régime de Macky Sall. Samuel Sarr et ses associés se positionnement également dans la course pour la privatisation de Senelec.
Avec une production de 300 MW, la très future centrale d’énergie pilotée par Samuel Sarr, va produire près de 30% des besoins réels d’électricité de Senelec. Un chiffre jamais égalé chez les producteurs indépendants de Senelec.
En effet, sur recommandation des bailleurs de fonds, l’électricien national pourrait être divisé en trois entités : production, distribution et commercialisation.
En détenant une puissance égale à la moitié des besoins réels de Senelec (entre 600 et 700 Mégawatts) Africa Energy est bien partie pour s’emparer de la majorité du pool production au cas où…