En l’espace d’une semaine, les pandores ont procédé à plusieurs arrestations.
Selon la Rfm, une trentaine de personne arrêtées par la gendarmerie ont été placées sous mandat de dépôt. Elles sont poursuivies pour association de malfaiteurs, saccage, incendie volontaire, menace de mort entre autres chefs d’inculpation.
Les présumés auteurs ont été identifiés grâce aux enregistrements audio qu’ils partageaient via le réseau social Whatsapp. Ces derniers avaient tous participé à la manifestation.