Je n’ai pu trouver meilleur Ndeweneul
Aux frères Palestiniens
Meurtri ! Dans l’âme choqué, l’esprit courroucé dans sa quête de quiétude, je suis peiné,
Embrouillé, obnubilé par les scènes d’agressions d’un usurpateur
Qui fait couler à tort, le sang coloré
D’un frère en Dieu, persécuté, malmené, vilipendé oublié.
Ce sang rougi de la foi d’hommes vertueux giclant d’artères coupés et de veines mutilés,
Des atroces scènes de tueries et de haines
Aveugles, c’est bien le sang béni par le reflet d’Al Aqsa.
L’ennemi féroce s’est encore dressé,
Subitement ressorti de son trou obscur, levé par l’obscurantisme pour causer du mal.
Aux alentours du haut lieu sur des gens pieux.
Affûté, près pour la guerre ,
Le peuple sans terre, s’attaque à la terre des peuples.
La terre de l’Islam,
D’où résonnent les cris d’innocents mômes.
La terre des saints hommes, D’où scintille le mythique dôme.
Le dôme du rocher
Que nul ne peut tacheter
Le dôme doré,
Source d’abreuvage, mystiquement orné
Point de ralliement, des cœurs et de résonance des chœurs,
Temple de prières nuitamment protégé
Depuis le périmètre sacré
C’est la maison de Dieu
Le carré des Élus choisis par le Très miséricordieux
La demeure des Palestiniens Terre promise…!