Dans ma précédente chronique, je n’avais pas manqué de mettre l’accent sur certaines qualités de celui que le Président Macky Sall a confié le gouvernail. Quelques mois après, il est loisible de constater que le Président ne s’est pas trompé d’homme, tant il est vrai que ce fiscaliste aguerri, sait travailler avec une ferveur religieuse. Rigoureux, rompu à la tâche en plus d’être fidèle et loyal, il s’acquitte de ses nombreuses tâches avec la conscience et l’efficacité des bâtisseurs d’empires. Dans l’accomplissement de sa haute mission, il fait preuve d’un dynamisme exemplaire pour ne pas décevoir la confiance que le Chef de l’État a placée en lui, dans un contexte politique où rien n’est facile, où tous efforts pour accomplir merveilleusement le destin du peuple, paraissent insuffisants.
C’est dans ce contexte que l’on reconnaît les grands hommes d’état que rien ne rebute, grâce à leur exemplarité comportementale et leur capacité foncière à juguler les avatars de l’émotion pour rester droit dans les sentiers de la vérité, de la justice et de l’intérêt commun.
Le passage du Premier Ministre à l’Assemblée Nationale pour répondre à des questions d’actualité, a démontré toute la capacité de cet illustre serviteur, baignant dans la sérénité et l’optimisme qui caractérisent les hommes de fortes convictions, de prendre en charge les préoccupations du peuple sénégalais. Il a su contenir les débats parfais tendancieux, les querelles byzantines et scolastiques, sans jamais faiblir, ni tomber dans la vulgarité mais stoïque et ferme comme les « Samba Linguère » d’autrefois, avec une parfaite connaissance de ses dossiers.
Le Sénégal tel qu’il est aujourd’hui, chemine victorieusement vers les terres promises de l’émergence sous la conduite éclairée du Président Macky Sall. Amadou Ba se positionne comme un précieux auxiliaire pour le Chef de l’État, dont l’ambition est de tisser la trame d’un nouveau destin radieux pour le Sénégal. Malgré une surcharge de travail considérable, découlant des ministères de l’élevage et des sports qu’il gère, il fait de son mieux pour conduire le bateau à bon port. Je l’encourage à ne jamais abdiquer devant l’immensité de la tâche qui craint les hommes de foi profonde, suffisamment outillés pour rester toujours debout, jamais couchés car, à cœur vaillant, il n’est rien d’impossible.
Majib Sène