Dakarmidi- La Gendarmerie de Saly Portudal(Mbour) vient de réussir un grand coup. Ellle vient de mettre fin à la cabale de la bande des trois qui a volé le matériel de la Radio Saphir FM/Saly Carrefour appartenant à Madame Ndéla Madior Diouf. Ainsi, au mois d’Août 2018, la station radio a été victime de vol dont l’auteur se trouvait être un animateur du nom de Ass malick Fall. Ce dernier avait pris la poudre d’escampette, depuis lors. Le reste du matériel qui était inaccessible, selon nos sources, par ce qu’étant des pylônes de 30 mètre a été confié à un autre animateur du nom de Dj Paco qui l’a gardé dans le restaurant du Réseau Saphir à Saly, un lieu qu’il a fini à transformer en lieu de débauche. Simulant, sur ces entrefaites, un soi-disant cambriolage, il a été très vite été démasqué par la maîtresse des lieux, en l’occurrence, Ndéla Madior Diouf aidée par les limiers de la station balnéaire et le nommé El hadji Sarr. Après avoir avoué son forfait devant les gendarmes, le mis en cause a tout simplement livré les noms de ses complices, à savoir, Magatte Seck alias Talla Sylla (on l’appelait parce nom à Saphir FM) qui est technicien à la RTS/TV et frère de la journaliste Françoise Seck. Le technicien à la chaîne de télévision nationale loue et vend du matériel de radios à plusieurs Maires apéristes qui ne s’y connaissent. Ces derniers font des commandes à Magatte Seck. Sachant que la Présidente Directrice Générale du Réseau des Radios Saphir avait gardé beaucoup de matériels, ils ont accompli leur sale besogne.
Mis au parfum de ce vol, la Gendarmerie de Saly a fait preuve de diligence et de compétence, ce malgré, les moyens limités pour mettre la main sur ces visiteurs indélicats et restituer tout le matériel à la femme politicienne. A ce jour, et les voleurs et leurs receleurs sont tous arrêtés à Dakar, acheminés manu militari à Saly et déférés à la prison de Mbour. Interpellé au téléphone, Madame Ndéla Madior Diouf, dira : «Des personnes tapies dans l’ombre essaient de protéger Demba Seck qui n’est pas à son premier coup. Il est habitué des faits. Il doit payer pour sa témérité», s’explique-t-elle, de manière laconiquement.
Nos soins ont tenté d’entrer en contact avec les principaux concernés ou leurs parents. En vain.
Avec Ibrahima Ngom Damel (correspondant)