Dans le cadre de ses activités économiques, Monsieur Moustapha TALL qui s’active dans le commerce des denrées de première nécessité au Sénégal depuis les années 70, a tenu un point de presse pour informer l’opinion national et international sur le dossier judiciaire l’opposant avec la SGBS d’une manière générale et plus particulièrement sur ce gros dossier qui vient d’être vider par la cour suprême,ce 06 Février 2025 sur un pourvoi en cassation qu’il avait introduit depuis 2023 et qui a été refusé.
Dans des explications plus explicite L’importateur de Riz, Moustapha Tall plus que c’est de lui qu’il s’agit revient en plus large sur le sujet.
MOUSTAPHA TALL, ABUSE, RESISTE FACE AUX BANQUES
Mesdames, messieurs les journalistes je vous remercie d’avoir bien voulu effectué le déplacement pour ce point de presse. Je tiens à vous informer que c’est suite à l’audience d’hier de la cour suprême statuant sur pourvoi en cassation sur un dossier judiciaire concernant la société Moustapha TALL SA et la SGBS je tiens à informer l’opinion nationale et internationale sur les teneurs de ce dossier qui marque des interrogations sur notre justice
Je vous retrace un peu l’historique de mes relations avec la SGBS qui a commencé depuis Kaolack dans ma ville natale en 1980 et s’est consolidé avec l’ouverture de mon premier magasin à la rue Fleurus à Dakar un 15 janvier 1983 et l’ouverture d’un autre compte à la SGBS Roume jusqu’à ce que la banque m’accorde une ligne de crédit de 1 milliard 500 millions de FCFA avec seulement un déposit de 25% donc un montant flat de 75% sans garantie par le Directeur Général de la SGBS de l’époque monsieur André BORG pour les besoins de mes opérations d’importation de riz pour remplacer la défunte caisse de péréquation dans cette activité à la libéralisation de l’importation du riz au Sénégal et ceci jusqu’en 2004 le jour ou on m’a collé un faux dossier contentieux sur l’importation du sucre qui m’ a valu une détention de 58 jours du 07 septembre 2004 au 04 novembre 2004, le jour de mon élargissement suite une transaction avec la douane pour payer la rondelette somme de 1 milliard de FCFA réclamée par le ministre des finances Abdoulaye DIOP sous la houlette du président de la république et de son ministre d’état cheikh Tidiane SY et pourtant ils nous reprochaient d’après la douane un différentiel de péréquation sur du sucre importé pour un montant de 450 millions d’après leur plainte adressée au procureur de la république mais pas déposer dans son bureau mais envoyé auprès du juge du 3ème cabinet qui avait en charge d’un autre faux dossier intitulé dossier de faux bon à enlever qui visait l’ancien Directeur Général de la douane de l’époque Boubacar Camara, le juge s’est permis d’envoyer 8 douaniers avec des transitaires en prison depuis 2003 sous le numéro 60/03 et pour le procès-verbal de faux bon enlever (enlèvement de marchandise sans déclaration) par rapport au dossier qui parle de différentiel de péréquation quel lien y a t il entre un différentiel de péréquation et faux bon à enlever et le lien qu’il a sur un Procès-verbal de 2003 et
de 2004. Aucun lien entre ces deux dossiers mais le juge a voulu faire plaisir aux commanditaires qui ne sont que ceux que je viens de Citer plus haut et Jean Claude MIMRAN de la CSS et de la CBAO donc c’est peut-être cela qui a motivé la banque dans sa logique de spolier le compte bancaire de la société Moustapha TALL SA afin de me la mettre en faillite artificielle en gardant le compte dans une situation très difficile de non accompagnement notoire avec toutes les garanties immobilières que Moustapha TALL SA avait mis à la disposition de la banque en refusant deaccompagner dans une opération d’achat d’un lot de riz acquis sous appel d’affres pouvait permettre à Moustapha TALL SA de gagner plus de trois milliards ef de puyer toutes ses dettes en moins de trois mois sous tierce détention au lieu de Poixante mois comme indiqué dans le protocole de restructuration de 2011 à 2016 ce refus s’explique par le fait que la banque a profité de mon séjour carcérale pour ses assauts et malversations sur le compte qui a occasionné un manquant global cinq milliards huit millions entre 2004 et 2005
Par ailleurs la crise alimentaire de 2008 qui avait aussi occasionné une perte colossale sur les opérations de riz importé qui est venu s’ajouter sur ces malversations ci-dessus.
Tous ces deux paramètres ont occasionné une tension de trésorerie pour la société Moustapha TALL SA avec un solde débiteur de plus six cent millions.
Une telle situation nécessitait une restructuration du compte que la banque a tarde à accepter et se permettait de débiter des agios trimestriels colossaux pendant deux ans ce qui rendait le fossé plus profond et à pousser Moustapha SA à demander une restructuration en 2009.
Par la suite, la banque a accepté de faire cette restructuration tardivement en 2011 matérialiser par ce protocole signé entre la société Moustapha TALL SA et la SGBS qui devrait être soldé pour un montant de huit cent quatre-vingt-dix-neuf millions agios inclus payable jusqu’en 2016.
Après cet accord Moustapha TALL SA a payé douze mensualités conformément aux engagements en cherchant une opportunité qui pouvait lui permettre de gagner pour ramener ses activités à la normale, comme si dieu nous avait entendu, en exauçant nos souhaits en nous offrant cette opportunité de gagner sous appel un lot de riz d’une valeur de trois milliards qui était arrivé et stocké à Dakar.
Cette opération financière en plus du nantissement de la marchandise et de la garantie de l’immeuble pour une valeur d’un milliard cinq cent millions le montant financé pour l’achat de ce lot on y ajoute le montant restant de la restructuration qui déterminera le prix de la tonne à payer avant enlèvement.
La SGBS a refusé cette proposition, et Monsieur Moustapha TALL a jugé nécessaire d’aller en France pour rencontrer monsieur Alexandre MEYMAT Directeur département Afrique de la Société Générale (DTAI), étant Absent, après quatre jours de séjour à Paris j’ai remis le pli à la secrétaire qui me l’a suggéré, et j’ai reçu l’appel de Alexandre qui m’a écouté et m’a proposé de patienter après le départ à la retraite du directeur en poste et l’arrivée d’un nouveau pour trouver des solutions.
Pour me conformer j’ai continué à payer les échéances jusqu’en 2013 et à l’installation du nouveau Directeur DENATEUIL et plusieurs demandes d’audiences restées sans réponses face à une telle situation j’ai décidé de plus payer les échéances, le premier impayé de traite lui a fait agir pour me recevoir et il m’amenacé de m’amener en contentieux si je ne pavais pas l’impayé et je lui al dit d’agir comme il l’envisage et la SGBS a établi un montant de neuf cent soixante d’ar collions injustifié et se fait adjuger mon immeuble pour une valeur de quatre cent millions et reste leur devoir cinq cent soixante-dix-huit millions.
Cette vente de l’immeuble est illégale et attaquée au correctionnel de Dakar pour faux usage de faux car l’ordonnance était irrégulière jugé par le tribunal de Dakar et confirmé par la cour d’appel de Dakar.
Dans cette procédure longue et difficile nous avions introduit un pourvoi en cassation pour demander de casser Le jugement Précédent.
Le pourvoi a été envoyé et concrétisé en 2023 notifié aux parties concernées et c’est après 18 mois d’attente que fut tenu l’ audience ordinaire à la cour suprême ce 06 février 2025 et pour nous comme notre dossier était solide juridiquement, nous n’avions jugé nécessaire d’aller là-bas pour rencontrer qui que ce soit espérant que les juges de la cour suprême qui est l’instance suprême doivent être de grands juges très expérimentés et allaient nous rendre cette cassation qui n’est rien d’ autres que de casser un jugement entaché d’irrégularités notoires et visibles même pour un non initié et d’ailleurs la cassation veut dire nous permettre de se faire juger dans une autre juridiction autrement composée est-ce que cela est difficile ou compliqué et d’ ailleurs c’ est la raison pour laquelle cette instance est mise en place pour corriger les erreurs ou les imperfections des tribunaux régionaux
En rappel des faits liés aux contentieux que les juridictions jugent en notre défaveur
La banque reporte 2milliards 62millions au lieu de 2 Milliards 662 millions soit une différence de 600 millions et un autre de la même manière de 6 millions au lieu de 228 millions soit une différence de 222 millions, sans compter l’émission de quatre chèques de banques sans justificatif à hauteur de trois milliards 840 millions et deux chèques de guichet déplacés inexistant de 29 millions et un chèque de 175 millions d’impayé et qui n’a jamais été crédité et en fin deux traites avalisés provisionnées illégalement avant échéance et pourtant ces deux ont été faits sur la ligne de crédit en payant les frais d’aval de 10 millions et 13 millions pour ne citer que cela soit un préjudice total d’environ 5milliards 800 millions.
En effet La rupture de confiance entre moi et la banque est le résultat de la gestion calamiteuse, d’abus et d’escroquerie inadaptée et nébuleuse donnant naissance à une perception de banque de grands bandits au col blanc. Nous nous battrons, pour rendre justice face un groupe qui est à la base de cette rupture de confiance et veut dictée sa loi dans notre pays.
Par conséquent, La crise financière à laquelle nous faisons face se résume essentiellement à un manque de sérieux de ces banques face aux opérateurs économiques nationaux qui sont abusés et escroqués et diffamés
Nous ne demandons pas de faveur, nous demandons juste que la justice rien que la justice, pas de loi du plus fort sur le plus faible mais la loi de la vérité sur le mensonge.
Je marque ma désolation face à la décision de la cour suprême, car elle n’est motivée d’aucuns arguments sincères ou juridiques mais constitue un refus d’un acte pour un citoyen qui en a le droit.
En fin, la mission première d’une banque est de préserver nos biens, de les assurer et de les mettre en sécurité mais dans notre cas dans la plupart c’est la banque elle-même qui dérobe comme dans les contes d’Ali baba et les grands voleurs.