Selon L’Observateur qui donne l’information dans sa parution de ce jeudi, l’enquête de la gendarmerie écarte la thèse de l’incendie criminel.
Le feu proviendrait de la table chauffante, dotée de six lampes d’une puissance de 60 watts chacune, selon la SENELEC dont l’expertise technique a été sollicitée.
Cependant, rapporte le journal, les mis en cause pourraient être poursuivis pour négligence.
À noter également que deux infirmiers ont été mutés à Louga. Quant à leur collègue contractuel, il aurait démissionné.