Pour ces derniers qui se sont levés en mouvement d’humeur, ceci n’est qu’un avertissement.
Pour le porte-parole et infirmier d’état Alioune Ndao, les autorités doivent tenir leurs promesses car « ça fait 5 mois qu’on court derrière ces miettes. 150 mille francs ce n’est rien du tout mais quand même c’est notre sueur, ils nous doivent cet argent. Nous ne sommes pas là pour négocier, on est prêt à taper fort. En tout cas nous sommes fâchés et nous sommes prêts à aller au combat » a-t-il lancé.