De retour de l’étranger, Nicolas n’a pas hésité à demander à son ami Bineta de lui chercher une machine de fabrication de faux billets en contrepartie d’une commission.
Celle-ci décide de le mettre en relation avec le nommé Ibrahima Faye pour lui tenir compagnie au moment de l’achat chez le vendeur. Devant le prétoire, elle avoue qu’elle ignorait la destinée de cette machine là où le maçon Ibrahima, lui, affirme n’avoir fait connaissance avec le sieur que lors d’un chantier. Quant à Nicolas, il soutient qu’il s’agit d’une simple imprimante.
Tenant compte des faits, le juge a déclaré coupables les mis en cause. Nicolas Diamantidis écope de 2 ans dont 1 an ferme tandis que les deux autres sont condamnés à 2 ans dont 1 mois ferme pour délit d’association de malfaiteurs.