À cette même période de l’année dernière, Cheikh Gadiaga fut alpagué par les éléments de la DIC pour une tentative d’extorsion de fonds, à Cheikh Amar et en Décembre 2013, une autre date, pour des faits similaires, Cheikh Mbacké Gadiaga de son vrai nom, utilisant le nom de Mimi Touré avait soutiré au patron de Tse la rondelette somme de 30 millions de francs Cfa.
Il risque gros cette fois-ci, avec ces nombreuses plaintes auxquelles il devra répondre, et celles autres qui vont le charger davantage la semaine prochaine. Le sieur Gadiaga est mal barré, car de par sa presse en ligne, créée il y’a quelques mois, il a tenté de salir l’image de la République en usant de méthodes malsaines pour dénigrer, vilipender calomnier les autorités du pays, et cela, a évidemment choqué tous ceux qui ne cessaient de recevoir à longueur de journée ses publications via Watsup, preuves ne pouvaient suffire pour comprendre qu’il est l’unique commanditaire de tout ce désastre. Gadiaga découvert et cueilli a voulu imputer ses actes à Moïse Rampino, hors les lois sont claires, il est le principal responsable de sa ligne éditoriale en parcourant les actes notariaux qui le définissent comme la seule personne morale de sa structure.
Mr Gadiaga a hier soir passé sa première nuit en garde à vue, et sera présenté devant le procureur de la République qu’après Noël où lui sera décerné le sésame tant redouté du mandat de dépôt. Sa mère, une brave dame, A. F. S. a été apprend-on très affectée par le comportement déshonnête de son fils, qui pourtant, lors de son dernier séjour carcéral l’avait supplié de s’éloigner de toutes ces formes de pratiques qui ne font que salir l’image et l’honorabilité de leur famille. Nous y reviendrons
La rédaction