Les scènes, malheureusement assez familières, de la catastrophe naturelle causée par la crue du fleuve Sénégal me consternent.
J’exprime mon soutien et ma compassion aux populations de Podor, de Kanel, de Matam et de Bakel lourdement impactées par les effets de la nature. Le sinistre s’étend au-delà des villages et touche les champs. Les inondations accentuent l’enclavement des villages, rend plus difficiles l’accès aux services de base dans des situations de besoins accrus.
Les plans de développement en gestation devrait prévoir des solutions pour que cette vallée, qui devrait être le grenier du pays, ne soit pas transformée en chaque crue importante, en terre sinistrée et inaccessible.