Père Ouza Diallo est indigné de voir ces dérives qui rythment le quotidien des Sénégalais. Lesquels sont confrontés à la pandémie du covid-19 qui a fini de désarticuler systèmes et programmes à travers la planète. Mais pour certains, le Président Sall a refréné les ardeurs.
L’homme devenu auto-prédateur
« Vu nos dérives inhumaines que même les animaux daigneraient à faire en vérité, l’homme est devenu le prédateur de lui-même, fossoyeur de sa propre civilisation. Résultat, comme dans une guerre, voilà l’humanité confrontée à un monstre aveugle et fatale à tous, sans distinction de race, de religion ou de pays », martèle Père Ouza Diallo, dans une complainte adressée à Senego.
Ce terrible ennemi invisible
Aujourd’hui, explique-t-il, pauvres ou riches pâtissent de ce terrible ennemi invisible à l’œil nu et foudroyant. Et, l’artiste, auteur-compositeur de prôner le retour à Dieu, toutes religions confondues, pour extirper nos péchés.
Pas de politique politicienne
Par contre, à quelque chose, malheur est bon, dit-on. « Cette pandémie du Covid-19 a poussé le Président Macky Sall à monter au créneau et s’opposer à des ministres et autres personnes qui voulaient politiser la situation à travers son image ».
La résidence surveillée de Habré magnifiée
Par ailleurs, le musicien chanteur a salué le transfert en résidence surveillée de Hissein Habré, ancien Président Tchadien. « Ce panafricaniste qui avait mis fin à l’hégémonie libyenne dans la région en restituant la bande d’Aouzou à son peuple, sans détruire la géopolitique régionale comme aujourd’hui. L’on se rappelle son courage politique vis à vis de la très néocoloniale France dans l’affaire Françoise Claustre ».