Alors qu’il consomme son contrôle judiciaire décerné par le doyen des juges, pour diffusion de fausses nouvelles, dans l’affaire Batiplus, Cheikh Yérim Seck retourne à la Section de Recherches, ce lundi. Pour une affaire présumée d’avortement.
Selon l’Enquête dans sa livraison de ce lundi, le journaliste, qui n’est pas encore sorti de l’auberge, est cité, cette fois, dans une sombre affaire d’avortement présumée.
Quatre personnes arrêtées
Il serait accusé d’avoir engrossé une fille mineure avant de l’inciter à avorter. Il aurait remis 200 000 FCfa à une amie pour ce faire.
Quatre personnes, dont un infirmier, la mineure engrossée, son amie et la proche du journaliste sont arrêtés.
En 2012, une affaire de mœurs…
En 2012, Cheikh Yérim Seck avait été condamné dans une affaire de mœurs, accusé de viol contre l’étudiante Ndèye Aïssatou Tall.
Après 16 mois passés en prison, le journaliste avait recouvré la liberté en 2014.
Cabale contre une plume qui dérange ? Réponse dans les heures ce lundi…