Paix à vous, ô auguste Maître, héritier des grands savants, nés des siècles étendus, vous êtes une lumière intelligente, une étincelle intellect, au firmament des temps sélects.
Je vous salue avec déférence sous le son des cygnes de Mbacké.
Votre nom est hissé en étendard qu’aucune tempête ne peut emporter, le souffle des guerriers qui savent braver tout chaos.
Assirou, en lettres codifiées, une dimension aux étendus mystères, qui annonce le choix par la mélodie du chant » Le Général de Bamba « .
La dignité de l’homme qui transperce les consciences, une grâce nocturne sous les feux d’une ère de révolution.
La race noire qui t’a tendu l’oreille a compris finalement comment définir son histoire, comment structurer son passé et comment préparer son avenir.
Le colon n’avait pas varié dans ses sentiments de vouloir tout nous prendre, son grand-père, Mame Cheikhoul Ahmada avait interpellé la cognition à travers une tablette de connaissance rarissime.
Avons-nous besoin de pousser plus loin notre réflexion pour comprendre que le chemin qui mène à l’intégrité du peuple noir n’est point dans cette voie tracée dans le passé, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké Noreyni le définit autrement, parfaitement adapté au temps.
Avons-nous besoin d’attendre qu’il soit trop tard pour le dire et pourtant la solution est entre les mains de Cheikh Ahmadou Kara Mbacké Noreyni.
Le temps de Dieu n’est pas celui de l’humain, la vérité se glisse alors entre ces deux horloges.
Nous avons le devoir moral de redessiner une autre république, celle dont faisait allusion Mame Cheikhoul Ahmada, avec des hommes qui empruntent ses nobles caractères, qui savent dire non, quand il le faut, qui savent prendre de la hauteur, qui intègrent dans leurs plans, la foi façonnent l’être noir dans ses nobles actes, qui pardonnent et qui s’ordonnent à servir les autres à chaque moment qu’une situation s’impose.
La voie est ainsi tracée par le Général de Bamba, Cheikh Modou Kara Mbacké Noreyni.
Avec toute ma gratitude et ma reconnaissance.
Dr. Mohamed Diallo