Dakarmidi – Le sélectionneur de l’équipe nationale de football a fini de comprendre que gérer un poste comme celui qu’il administre rime avec bruit. Il dit alors être au courant de tout les critiques formulées à son endroit mais gobe tout et reste concentré sur son sujet.
“Quand l’équipe perd, je ne dors pas, je ne mange pas. Je peux même dire que ma vie devient misérable. Je n’aime pas perdre, comme tout entraîneur d’ailleurs”. “On m’a taxé de dictateur, de Yaya Jammeh, d’Hitler, mais je suis un homme normal. Si ça ne va pas, j’ai tendance à le dire et pas à mettre un masque et sourire (comme si tout allait bien). On m’a taxé de tous ces noms, mais personne ne m’a jamais entendu avec un joueur”, dit-il dans le journal “Les Echos”.
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