A chaque combat de lutte, les Dakarois, surtout ceux qui habitent aux alentours des stades (maintenant l’Arène nationale), sont animés par un sentiment de terreur à cause des agressions, vols et autres actes de banditisme et de violence.
Pour le journaliste Coumba Ndoffène Diouf qui dénonce pour la énième fois cette situation, une seule solution s’impose : renforcer le dispositif sécuritaire à l’occasion des combats de lutte en augmentant considérablement le nombre de policiers et/ou gendarmes et en prolongeant le temps de veille jusque tard dans la nuit.
Il a interpellé les forces de l’ordre et leur chef, le président de la République Bassirou Diomaye Faye.
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