La politique doit redevenir un sacerdoce au Sénégal
Notre parti, la République des Valeurs, a récemment observé quelques départs de membres, bien que ces départs ne concernent qu’un nombre restreint de personnes. Toutefois, ils sont utilisés à des fins de déstabilisation et de propagande.
Les départs notés n’ont pas de quoi ébranler le parti, car il était évident que les personnes concernées ne partageaient pas les valeurs fondamentales du parti. Elles allaient certainement être déchargées de leurs responsabilités après l’élection présidentielle.
Cependant, le départ de 2 responsables, ayant participé à toutes les décisions stratégiques du parti, doit alerter l’opinion publique sur la manière de faire la politique au Sénégal. Le parti au pouvoir est aussi interpelé. Les citoyens n’acceptent plus la transhumance politique. Ces derniers n’ont fourni aucune justification probante quant à leur départ. La seule motivation retenue est la volonté de transhumer pour participer au « festin ».
Ainsi, les départs ne portent sur aucune divergence idéologique ou sur des choix tactiques malheureux. Le parti et son leader sont restés constants dans les valeurs qu’ils incarnent. Il est regrettable que de telles pratiques continuent de guider l’engagement politique, où la morale et les convictions sont jetées aux oubliettes et où le parti politique est utilisé comme instrument de promotion personnelle. La politique doit redevenir un sacerdoce au Sénégal.
Malgré ces départs, le MONJER est fier d’annoncer l’arrivée de nouveaux militants. Ces nouveaux membres, motivés et partageant pleinement les valeurs de notre parti, viennent renforcer nos rangs et témoignent de notre dynamique constante de défendre les intérêts du Sénégal et des Sénégalais. Leur engagement illustre l’attractivité des principes et idées défendus par le parti. Le mouvement que nous voulons impulser pour la nation est exaltant. Nous n’en doutons pas, il est aussi difficile, car il demande des sacrifices nécessaires et des revers. C’est le prix des grandes transformations sociales.
Par ailleurs, le MONJER apporte son soutien moral au secteur de la presse. L’alternance devait être un renouveau démocratique. Elle devait aussi s’ouvrir sur des Assises de la presse, dont les contributions permettraient de construire des modèles économiques solides. Une presse plurielle, vivante est nécessaire pour la consolidation de la liberté d’expression et des acquis démocratiques. Le MONJER et toutes les instances de la République des Valeurs resteront vigilants et toujours au service de la nation. C’est le sens de notre engagement.
Cellule communication du Mouvement National des Jeunes de la République des Valeurs (MONJER)