Maman quand je te souris ton coeur se remplit d’amour et de joie car t’as un bon coeur. La gaïeté de ton fils correspond à ton sourire sa peine fait couler tes larmes. Dis moi ce qui te fait plaisir pour que je l’èxécute ma maman adorée.
Maman aie une longévité, vieillis vu que cela tarde à venir.
Le paradis vit en ton fils chéri car t’es mon guide.
Que dieu te donne longue vie jusqu’à ce qu’on t’appélle mamie. Je témoigne qu’il n’éxiste pas meilleure maman que toi car en plus d’avoir un coeur en or t’es pieuse ma maman chérie tu es ma joie de vivre !!!!
Oh, Rama je me souviens de tes méches luisantes qui suintaient de beurre. Aïdara, je me rappelle de cette nuit que tu hélais les gens pour secourir mon frère qui etait frappée de peur. Aïdara kara kara ton cri : « wouy ameth, wouy ameth » est inoubliable, mêlait de torpeur. Ramatoulaye Aïdara, je ne peux pas oublier le sursaut de mon frère ousseynou qui titubait de sueur.
Rire, rire, rire ousseynou cissé : un vrai foudre de guérre. Ramatoulaye, je ne t’ai jamais considérée comme une marâtre. Plutôt comme ma propre mére. Maman, Toulaye ta belle authodérésion, ton art culinaire, ton narcissisme sont aimés par tout le monde y compris les comméres. Chrifa et chérif, tu possédes toutes les qualités d’une femme cultivée et réfléchie. Malgrè, les grondements ,les rappels à l’ordre d’une èducation stricte avec beaucoup de caractère que tu nous domptais mon frère et moi: maman Ramatoulaye Aïdara mon amour envers toi est infinie.
Signé Amadou Cissé