« Aujourd’hui, 1er mai, jour de communion avec tous ces hommes et ces femmes travailleurs du monde qui ont compris, avec Jean Jaurès et Voltaire, que le travail est le premier des droits de l’homme et qu’il éloigne du vice et du besoin. Il permet en définitive d’entretenir la flamme de la dignité. 24h donc pour nous, pour réfléchir sur la condition des travailleurs et pour trouver des solutions à la pénibilité, au bas salaire, aux difficultés de la vie dans l’entreprise. En ce moment précis aussi, je réfléchis aussi sur la condition de ceux qui ne travaillent pas, qui sont aussi dans cette quête de la dignité. Ils ne fêtent pas eux. Ils disent à l’Etat et aux patrons : « FAITES DU TRAVAIL » et ils ont raison. Il ne faudra ménager aucun effort pour que le travail soit accessible à tous. Je pense aussi au travail pénible de ces millions d’enfants dans le monde qu’il faut exécrer et dénoncer.
BONNE FÊTE À TOUS. »