En 2011, nous étions tous là, de la presse, à dénoncer l’inadmissible du 23 juin.
En 2017, nous de la presse, ne devons nullement accepter de subir l’inconcevable pour vivre pire, de la part d’un régime à qui le peuple a tout donné et qui, en contrepartie, veut tout prendre au peuple, jusqu’à sa plus petite liberté.
Nous de la presse, ne soyons pas victimes des accointances et de notre proximité presque déloyale avec nos parents du pouvoir.
« Les députés de l’opposition perturbent la plénière » – Pourquoi titrer ainsi?
Et pourquoi ne pas dire simplement que sur la procédure, c’est le président de l’Assemblée Nationale qui ne respecte nullement la norme et refuse la parole aux membres de l’opposition?
Voilà le problème. C’est la désinformation totale. C’est insupportable et si nauséabonde de fumisterie.
Très chers confrères ALLAHU nous voit tous!
Ne laissons pas prospérer l’irréparable d’une inconscience inouïe pour un faux combat politico politicien.
Ce qui se passe actuellement dans notre pays est d’une saleté satanique.
La vérité à dire aux populations du Sénégal qui doivent faire face justement à leur destin et se battre contre l’incivilité et ce manque de respect, voire de correction et grandeur d’état, est que la loi est bafouée par le pouvoir en place suivant ses intérêts. Ainsi, tous les potentiels candidats sont « massacrés ».
Refusons. La presse sénégalaise a, toujours, été digne.