Son Excellence Macky Sall, un hommage ne suffit pas pour vous élever au grade le plus élevé de la distinction , vous êtes un étoile qui illumine et éclaire le développement du Sénégal
Quand je parle du Président Macky Sall, je parle inéluctablement du candidat Amadou Ba.
Après les indépendances en 1960 , le Sénégal était dans l’obligation de subvenir aux besoins essentiels des populations.
Ce fut un pays qui était dans la carence structurelle. Et pour stabiliser pour endiguer cette morosité économique des plans de développement ont été initiés tels que : le programme d’ajustement structurel ( PAS).
Mais bien avant ce PAS , des plans quinquennaux ont été mis en œuvre pour diminuer la saignée de la mauvaise température économique des années 62.
Vers la fin des années 1970 , les PAS misent en pratique avaient pour but de stabiliser le cadre macroéconomique et relancer l’activité économique.
Avec plusieurs séries de programme, l’économie nationale était restée statique.
C’est dans cette mouvance qu’à partir des années 2000 , la stratégie de réduction de la pauvreté, de développement et d’émergence furent successivement les fondements des actions gouvernementales.
De 2003-2010 , le pays s’est attelé à réduire le nombre de pauvres en facilitant l’accès aux services sociaux de base ( l’éducation, la santé, l’ eau potable, l’ assainissement,…) et augmentant le revenu des habitants.
Ensuite, la stratégie Nationale de développement économique et social ( SNDES) mise sur la valorisation des secteurs porteurs de croissance.
De nos indépendances en 2012 , il n’existait pas un programme qui prenait en compte les véritables réalités socio-économiques du Sénégal.
Son Excellence Monsieur le Président Macky par sa pugnacité et de Son Amour de vouloir bâtir le Sénégal et le mettre sur les rails de l’émergence s’était engagé résolument pour hier notre chère patrie.
Et Pour cela , la première phase qui consistait à un diagnostic sincère,fut, le « yonou yokkuté »: le chemin du véritable changement .
Avec ce programme triennale, s’est soldé par la création d’un véritable modèle de développement économique et social.
Le Plan Sénégal émergent ( PSE) de 2014-2035
Ce PSE,cette vision rayonnante qui a transformé merveilleusement les facteurs économiques et sociaux du Sénégal
Le Plan Sénégal Emergent, PSE, est le nouveau cadre de référence des politiques de la « gouvernance Macky Sall » visant à conduire le Sénégal sur la voie de l’émergence à l’horizon 2035.
La lutte contre les inégalités et les injustices sociales est au cœur du projet politique du Président de la République, convaincu que la politique n’a de sens que si elle prend effectivement en charge la correction des disparités. C’est le fond de l’idéal républicain.
Dans cette perspective, il a lancé des réformes dans le domaine social dès le lendemain de son accession à la magistrature suprême : allocation de bourses de sécurité familiale aux ménages les plus démunis, carte d’égalité des chances en faveur des handicapés, Couverture Maladie Universelle, revalorisation des pensions de retraite, gratuité de la césarienne, amélioration des niveaux de revenu des travailleurs, entre autres.
L’enjeu est de sortir les populations du besoin en offrant à chaque sénégalaise et sénégalais les moyens de son autonomie grâce à son inclusion effective dans le tissu économique.
La transformation structurelle des bases de l’économie.
La promotion du capital humain;
La transformation structurelle des bases de l’économie;
La bonne gouvernance et l’Etat de droit;
Dans la première phase des actions prioritaires, 27 projets phares et 17 réformes, touchant tous les secteurs, sont mis en œuvre. Ils participent à donner un nouveau visage à l’économie et à la société sénégalaises grâce à leur impact sur le taux de croissance et la redistribution équitable de la richesse nationale.
Combinant l’effort interne de mobilisation de ressources, l’appui des partenaires et l’investissement privé national et étranger, le PSE a été conçu et validé grâce à une vaste concertation avec tous les acteurs. Il a été appuyé, en février 2014, par la communauté internationale des partenaires à l’occasion du groupe consultatif de Paris.
Avec ces pertinents projets s’est venu se greffer le PUDC pour corriger les inégalités économiques des villes et des campagnes.
Pour bien corriger ces impaires, l’acte 3 de la décentralisation a été mise en œuvre pour effacer les incohérences territoriales , permettre aux communes de pour être autonome afin de pouvoir participer dignement au concert du développement local.
Son Excellence Monsieur le Président Macky Sall, avait lancé, le 19 mars 2013 , la formulation de la réforme de la politique de décentralisation du Sénégal dite « Acte III ».
Cette réforme a incarné le refondation majeure de l’action territoriale de l’État.
Et cette vision a permis aujourd’hui d’organiser des territoires viables, compétitifs et porteurs de développement durable.
Sans faire le listing de tous les projets de développement qui se trouvent dans le PSE.
Prenons la Couverture Maladie Universelle
La CMU, acheteur de soins de santé et responsable de l’exécution du programme de Couverture Maladie Universelle, constitue un puissant outil institutionnel permettant aux pouvoirs publics, de mettre en place un système efficace de financement de la santé.
Performances majeurs de la CMU
De 2013 année de lancement du programme à 2018, le taux national en couverture maladie est passé de 20,12 % à 49,64 %.
Durant la même période le taux de couverture des mutuelles de santé communautaires est passé de 4% à 19, 8%.
Performances dans le cadre de l’appui à l’assurance maladie au deuxième trimestre 2019
La couverture du risque maladie à travers les mutuelles de santé́, au deuxième trimestre 2019, représente 2.994.198 personnes bénéficiaires dont 2.680.753 pour les mutuelles de santé́ communautaires et 316.210 personnes par les mutuelles de santé́ au premier franc d’envergure nationale, selon les données disponibles à l’Agence.
Les élèves enrôlés dans les mutuelles de santé́ représentent 13,88% de la cible.
Le taux d’enrôlement des bénéficiaires du Programme National de Bourses de Sécurité Familiale (PNBSF) par rapport à la cible globale de 2019 est de 50,21%, celui des détenteurs de la Carte d’Egalité des Chances (CEC) est de 37,35%.
Ainsi, la couverture maladie des populations par les mutuelles de santé et le système d’assistance médicale pour les enfants et les personnes âgées est de 34,39%. A ce taux s’ajoutent les personnes couvertes par les régimes obligatoires ramenant la couverture de la population sénégalaise à 45,39% au 30 juin 2019.
Les Adhérents et Bénéficiaires classiques couvertes par les mutuelles de santé́ communautaires
Les adhésions volontaires (bénéficiaires classiques) constituent un élément d’appréciation de la perception des populations sur les mutuelles de santé et de la progression de la pénétration. C’est dans ce sens que les bénéficiaires classiques font l’objet d’un suivi particulier.
Le nombre d’adhérents classiques dans les mutuelles de santé communautaires est passée de 450.203 au premier trimestre de 2019 à 455.659, soit une augmentation de 5.456 adhérents. Cette hausse vient corréler celle des bénéficiaires classiques couverts par les mutuelles de santé, dont le nombre est passé de 1.059.644 au premier trimestre de 2019 à 1.086.908 au deuxième trimestre de 2019.
La CMU-Elève
Le nombre d’élèves inscrits dans les mutuelles de santé est passée de 240.343 au premier trimestre 2019 à 223.199 soit une régression de 7,13%. Cette baisse s’est beaucoup plus accentuée dans la Région de Fatick où la cotisation de près de 22.500 élèves n’a pas été́ renouvelée pour l’année 2019. La couverture des élèves dans le cadre de l’initiative CMU-Elève de manière générale reste encore très faible et ne représente que 13,88% de la cible initiale.
Performances dans le cadre de l’appui à l’assistance médicale au deuxième trimestre 2019
Pour ce deuxième trimestre de 2019, l’Agence Nationale de la CMU a pris en charge :
213.056 cas d’enfants âgés de moins de cinq (5) ans consultés ;
14.968 cas de personnes âgées de 60 ans et plus ;
3.749 cas de femmes césarisées ;
8.322 séances de dialyse.
Le PUDC
Composante 4 : Développement d’un système d’information géo référencé
Dans le cadre de cette composante, le Programme renforcera également les capacités institutionnelles des administrations locales et centrales en suivi-évaluation des programmes et projets de développement.
Les activités de formation seront renforcées par la mise en place d’une base de données géoréférencées ; d’un dispositif de suivi-évaluation axés sur les résultats avec un logiciel intégré, un tableau de bord des indicateurs clés de suivi de la performance des réalisations au niveau central et décentralisé. Ce système sera intégré au Système national de Suivi –Evaluation et fournira aux décideurs des éléments d’appréciation pour l’orientation de la politique de développement et la prise des décisions en matière d’investissements sociaux.
Principes Opératoires
La démarche du programme sera basée sur la participation, la responsabilisation et l’autonomisation des communautés dans l’atteinte des objectifs. La participation sera assurée par une stratégie de communication ; de formation, et de gestion des attentes des populations ; et par la signature des conventions et accords de collaboration avec les structures techniques telles que le FONGIP, la SENELEC, l’AGEROUTE, et autres acteurs de développement.
La responsabilisation inclura l’implication des populations locales sur tout le processus de mise en œuvre du programme. L’autonomisation des populations locales consistera à les doter de capacités et d’actifs, afin qu’elles opèrent elles-mêmes des transformations socio-économiques requises pour une amélioration de leurs conditions de vie.
Le programme d’urgence sera exécuté par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et en étroite collaboration avec les Ministères de l’Hydraulique, de l’Energie, des Infrastructures rurales, de l’agriculture, de l’élevage et la production animale et du Ministère de la Femme. Des matrices de résultats seront développées pour la mise en œuvre et le suivi des différentes composantes.
La zone d’intervention du Programme couvrira les zones rurales des départements des régions sur la base de la cartographie de la pauvreté et de l’accès aux infrastructures socio-économiques de base. Au-delà de l’indicateur de développement économique et social, le Programme intègre également l’approche par la demande en prenant en compte dans son ciblage des localités ayant exprimé un besoin d’assistance, ainsi que des plans de développement locaux des régions prioritaires telles que définis dans le Plan Sénégal Emergent. Il s’agit principalement des régions de Kédougou, Matam, Louga, Saint-Louis, Diourbel, Tambacounda, Thiès, Fatick, Kaolack, Kaffrine et Dakar.
Lors de la mise en œuvre du programme, les plans d’exécution et des matrices de résultats sectoriels seront élaborés en étroite collaboration avec les ministères techniques (les infrastructures, l’énergie, l’hydraulique, de l’élevage et l’agriculture) qui contribueront au financement de ce programme. Par ailleurs, le programme développera et mettra en œuvre une stratégie de communication et appuiera toutes les actions de mobilisation des parties prenantes.
RÉALISATIONS MAJEURES :
Infrastructures de désenclavement : sur les 359 km de pistes prévus par le programme en fin 2022, 188 km ont été réalisés ;
Infrastructures socioéconomiques de bases : des activités d’électrification rurale, avec un taux de réalisation de 80% et des activités hydrauliques avec un taux de réalisation de 58% ;
Chaînes de valeurs agricoles: mise en place d’équipements de transformation post agricole.
Pour les perspectives, en 2023 , malgré tous les nombreuses crises multiformes qui ont secoué le monde o
Le programme prévoit en 2023 de poursuivre les efforts en matière de désenclavement avec un objectif de 255 km de linéaire de piste à construire. Concernant les infrastructures socioéconomiques de base, le PUDC prévoit :
Pour l’accès à l’électricité, l’électrification de 341 villages par réseaux MT/BT et 19 villages par centrales solaires, de même que la mise en place de 70 km de linéaire de dorsale électrique ;
Pour l’accès à l’eau potable, la réalisation de 23 systèmes hydraulique multi-villages, la réalisation de 19 forages MFT ;
Pour le renforcement de la carte sanitaire, la construction et l’équipement de 34 postes de santé ;
Pour le renforcement de la carte scolaire, construction de 21 infrastructures scolaires ; livraison de 486 équipements de transformation post-récolte ;
Pour les chaines de valeur agricole, aménagement de 53 périmètres agricoles communautaires, installation de 8 unités laitières, mise en place de 25 plateformes de transformation agroalimentaires, installation de 20 infrastructures de stockage.
Excepté ces deux programmes, tous les autres programmes ont connu très grande réussite et dans tous les domaines.
Son Excellence Monsieur le Président Macky Sall est un don pour le Sénégal.
Le candidat Amadou Ba, cheville ouvrière et la colonne vertébrale de la vision rayonnante du Président Macky Sall mérite un soutien indéfectible.
Honorable Haut Conseiller Samba Ndong Responsable politique Apr Biscuiterie et Coordonnateur National de la Cojecar